Uber, pollueur des grandes villes ?

On pourrait penser que partager des trajets en taxi ou en voiture permettrait de réduire la consommation de CO2 dégagée dans l’air, et serait donc une action favorable à l’environnement. Le quotidien Le Parisien s’appuie sur une étude de l’organisation européenne « Transport & environnement » pour expliquer que la compagnie de VTC (Véhicule de Tourisme avec Chauffeur) Uber n’est pas si écologique que ça…

 

Après avoir déjà fait une étude en avril 2018 sur les émissions CO2 qui proviennent des voitures, l’organisation européenne « transport & quotidien » a publié ce mois-ci, en novembre 2019, une étude sur les compagnies de taxis, en essayant de comprendre si oui ou non, la compagnie Uber est un problème. Cette étude anglophone, source principale de l’article, stipule que si Uber continue son business actuel, le groupe pourrait devenir un obstacle à la transition écologique.

 

Des véhicules moins polluants ?

 

Au début de l’étude, « Transport & environnement » explique que « les kilomètres effectués par ces voitures supplémentaires produisent l’équivalent de « 250 000 voitures supplémentaires appartenant à des particuliers ». L’article du Parisien reprend alors le premier paragraphe de l’étude anglophone pour comprendre les enjeux de cette problématique. Pour l’ONG, les transports comme ceux de la plate-forme Uber devraient s’adapter et diminuer leurs voitures diesel au profit de voitures électriques. En gardant ce type de carburant et en adaptant pas les nouvelles voitures aux contraintes écologiques actuelles, Uber intensifie le trafic dans les grandes villes, augmentant la pollution selon cette étude de « transport & quotidien ». Une problématique qui ne fait que s’intensifier avec ces nouveaux modes de transports, dans les grandes villes de France.

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