Les créations des étudiants et étudiantes 2018-2019

Groupe magazine : 

Salami, le magazine 100% pur porc !

C’est sale ! Ça pue ! En plus, c’est pas très beau… Les stéréotypes sur le porc ont la peau dure. Pour mettre un coup dans le groin des idées reçues, les étudiants et étudiantes en presse écrite de la licence professionnelle de journalisme de l’IUT de Lannion ont travaillé en long, en large et en travers sur cet animal “totem” de la Bretagne, qui comptait deux fois plus de cochons que d’habitants en 2018. La région a tissé avec ce compagnon choyé et exploité des liens économiques, historiques et culturels forts. Mais le porc occupe aussi une place centrale dans les enjeux d’aujourd’hui et de demain pour le territoire, qu’ils concernent l’environnement, la biodiversité ou le bien-être animal. Salami dresse le portrait de l’animal dans ses nuances, pas forcément toutes roses. Avec, en filigrane, une réflexion sur le rôle du cochon dans la transition écologique en Bretagne. Vous avez dit sale ami ?

 

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Groupe radio : 

Comment l’élevage s’est-il intensifié en Bretagne ? Quelles sont les difficultés rencontrées par les éleveurs et éleveuses ? Une agriculture écologique est-elle possible ? Les étudiants et étudiantes de radio fouillent la question des éleveurs et éleveuses bretonnes à l’épreuve de la transition écologique dans Gavé·e·s ! 

Épisode 1 : Le virage de l’élevage 

Épisode 2 : Au coeur d’un élevage laitier 

Épisode 3 : L’agriculture écologique, utopie ?

 

Groupe web :

Pour Mediapart, le groupe web réalise une enquête sur le modèle agricole breton et ses freins concernant la réduction des pesticides.

Une première enquête dévoile la carte de France des achats de pesticides et l’histoire d’une base de données qui a peiné à être publiée officiellement.

Une seconde a conduit les étudiants à décortiquer le modèle coopératif agricole peu enclin à réduire sa consommation de pesticides, dans le Morbihan.

 

Groupe télévision :

Portrait de quatre agriculteur·rice·s breton·ne·s à des stades différents de leur réflexion par rapport au bio : se convertir (avec un couple en conversion), s’adapter (avec un agriculteur qui a fait 20 ans de conventionnel avant de passer en bio il y a un an) et aller plus loin (avec un agriculteur qui fait partie de la coopérative BioBreizh, dont le cahier des charges est plus exigeant que le label européen). À retrouver le 27 juillet sur Tébéo, Tébésud (20h45) et TV Rennes (21h). 

 

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